Réunion comité pilotage emiage 24_01_02
Projet
de convention inter-universitaire
Projet
de convention CNED-Consortium
Accueil
d’Orsay dans le projet emiage
Plateforme pour la gestion pédagogique
Les fonctionnalités attendues sont sur le site.
Le choix de la plateforme est proposé mais pas imposé.
Examen au cas par cas sur les sites d’expérimentation.
Question (Alain) : Y a t il un agrément emiage pour les plateformes. Une liste comparative devrait être publiée.
WebCT
Ariadne
INES (Amiens)
Campus Electronique(CNED) pas conseillé..
Plateformes de Bordeaux (Ulysse développé par Bordeaux 1)
Plateforme de Strasbourg (Accolade)
Nouvelle version de Learning Space
ShareObject a été choisi par Paris V. Une normalisation est prévue au travers de DTD.
Gérard Michel Cochard propose de faire la liste comparative sur le site (délai ?).
Remarque (
Réponse (CNED) : il faudrait prendre le temps de lire sur le site de GEMME le « rapport Arnaud. ». Il faudrait que le comité de pilotage puisse en effet prendre position sur la question de la normalisation.
Réponse (Cochard) : A une réunion de la FIED, Michel ARNAUD a fait le point sur le sujet.
En pratique, on doit choisir par soi-même.
Question (
Remarque (CNED) : il faudrait avoir un groupe permanent d’enseignants et de spécialistes d’observation des usages. Comment prendre en compte les bonnes et les mauvaises choses dans les pratiques (celles qui sont productives en formation et appropriables par les apprenants). Demander un financement dans l’appel d’offre numéro 3. Résultat du campus JET (écoles de commerce ?). Confrontation des uns et des autres présentée dans un rapport qui met en évidence le rôle de l’identité. Le document est disponible et diffusable. Gérard Michel Cochard se chargera de le diffuser au comité de pilotage.
Le travail est à faire au niveau de l’Europe. ARIADNE a déjà travaillé sur le domaine.
Conclusion (
Question (Alain Mille) : Est-ce que j’ai bien compris que le serveur de contenus n’est pas en ligne pour l’utilisateur, mais est une ressource pour l’ensemble des centres de formation qui y puisent leurs briques et y trouvent des éléments de description de structuration de ces contenus conformes aux programmes emiage.
Question (
Remarque (Daniel Marquie) : il faudrait que le groupe infrastructures se réunisse à nouveau, car le problème est important.
Plateforme d’accueil des contenus
Des spécialistes sont dans la salle, ce qui oriente vers un système de description des contenus. Le CNED s’occupe des serveurs de contenus.
A produit les
documents étudiés plus loin dans l’ordre du
On est dans la version 3. Il faut maintenant habiller les programmes.
Il reste un travail plus important à faire au niveau du DESS.
Ça devient urgent. Le groupe devrait repartir.
Il faut aussi choisir les modules que l’on prendra en DESS et en Licence, sachant que tous les modules de maîtrise sont concernés (8 de chaque coté).
Pour la licence, on peut en discuter dès à présent (proposition de Daniel Marquié).
Pour le DESS, il faudrait d’abord stabiliser la liste avant de faire le choix.
Découpage en séquences et chapitres.
Lecture de la convention par
Remarque (Alain) : il faudrait probablement soumettre la rédaction de l’article 7 à des juristes (la suite de la discussion conclura à cette nécessité).
La question de la propriété est posée (article 7) A quel point la collectivité des établissements est-elle vraiment propriétaire des contenus pédagogiques.
Le problème est assez complexe, car l’engagement de l’université n’est pas garanti et elle peut récupérer l’effort fait par l’IUP Miage.
Proposition (CNED) La question des droits de propriété intellectuelle peut rester centrer sur le fait qu’un contenu est fabriqué pour un USAGE PARTICULIER.
Autre proposition : mettre des clauses de non-concurrence, ce qui veut dire que les modules seraient diffusés à condition qu’ils ne soient pas utilisés en concurrence !
La question du DROIT A MODIFICATION. Discussion sur les droits de l’auteur à contrôler les contenus qu’il a fabriqué.
Remarque (je ne connais pas) : la convention est certes simple, mais ne précise pas grand’chose, ce qui la rend relativement inopérante en cas de contestation.
Question (Orléans) : Dans l’article 3 il faut entendre « Equipe Pédagogique » à la place de composante.
Réponse (Daniel Marquié) : ça tombe bien, les universités sont poussées à définir la notion d’équipe pédagogique.
Question (Orléans) : Dans l’article 6, la situation des universités qui s’impliquent mais qui ne sont pas des centres d’expérimentation auront du mal à obtenir des ressources puisqu’elle n’aura pas d’inscriptions…
Réponse (Daniel) : pendant la phase d’expérimentation, il faut imaginer des conventions à l’intérieur du consortium. Il reste qu’à terme (10 ans) la formation sera généralisée partout. Ça arrangera le H/E !!
Question (
Réponse (Daniel Marquié) Proposition d’un texte commun pour les universités partantes au premier tour (dont Lyon). Il faut voir comment on situe l’emiage avec les structures locales TICE.
Attention la structure des formations MIAGE n’est pas la même que emiage. Que faut-il faire pour habiliter le même diplôme. Se pose la question de la cohabilitation au niveau national. La question qui est posée à emiage comme à CANEGE c’est de voir comment on peut considérer que le dispositif emiage permet de donner le diplôme MIAGE. Prise en compte de la VAE/VAP (Valorisation des Acquis Expérience/ Valorisation des Acquis Professionnels), prise en compte du système ECTS (Crédits d’enseignements européens). On va vers un DIPLÔME DE MASTAIRE MIAGE. Une réunion des directeurs de Miage est à nouveau prévue sur le sujet le 3 mars. L’idée d’acquérir les modules de DESS avec la mobilité des étudiants (modules acquis dans des universités différentes).
Question (Nice) : les universités vont demander de chiffrer ce à quoi ils s’engagent en terme de moyens, ce qui est subventionné…
Réponse (
La question des cas de litiges : il faudrait prendre exemple sur les contrats européens.
Remarque (CNED) : il faudrait a
Remarque (je ne sais pas qui – Bernard je crois) : il
faut préciser dans la convention comment les affectations budgétaires vont être
faites (en particulier lorsqu’il s’agit d’affecter l’argent public. Le CNED
renchérit sur la base de son expérience dans un autre consortium. Proposition
de mettre des annexes pour la prise de décision. Il est important de faire
remonter des consortiums les problèmes juridiques ou comptables vers le
ministère pour établir le cadre des futurs réglements
de ces consortiums. Il est proposé d’a
Présentation du projet de convention par le CNED.
Le principe est de faire une convention cadre qui exigera de faire des conventions plus précises pour des collaborations directes.
La notion de « cotitulaires » de droits est importante car elle régit le fait qu’il y a collaboration.
Question (
Article 4 : le contrat de coproduction ne peut apparaître qu’entre un établissement et un le CNED ; il manque une une référence précise au comité de pilotage.
Question : le CNED est-il capable de dire dans quel module il compte s’inscrire pour le développement.
Réponse : maintenant que les modules sont préparés, le CNED va choisir en discutant avec les responsables de modules. Les critères de choix porteront plus sur les modes d’enseignement à distance, plutôt que sur les contenus. Il faudra donc décrire les stratégies pédagogiques.
Question : à quel niveau allez-vous investir sur les modules ?
Réponse : euh, on connaît à peu près ce que l’on peut faire. Il est probable qu’une participation à 3 ou 4 modules de la filière informatique pourraient être pris en compte. (rappel : il y a 5 modules qui relèvent de l’informatique). C’est décidemment sur les aspects d’ingénierie à distance que les choix de participation seront faits, sur la base d’une discussion. Les deux types de contribution : des moyens hommes ou femmes, et de l’argent. Le CNED parie qu’en terme de tutorat, il faudra faire évoluer la notion de tutorat pour aller vers le collaboratif. La notion de travail collaboratif serait au centre des préoccupations du CNED. Ce qui les intéresse le plus c’est la question des usages, et comment on peut capitaliser l’expérience de l’enseignement à distance pour proposer de nouvelles organisations et environnements plus adaptés.C’est en coproduisant que le CNED pourra peser sur la prise en compte des usages. (voir article 4.2)
Question (Bernard) : attention à ne pas introduire un clivage dans le groupe entre ceux qui seront « élus » pour bénéficier de l’aide du CNED et les autres.
Proposition
(
Réponse (CNED) : oui, ce serait bien de pouvoir faire ça, mais il n’est pas certain que ce soit tout financier… C’est le fait que les objectifs vont dans ce sens que le CNED pourra s’impliquer. (voir l’article 4.2).
Question
(
Réponse (CNED) : Nous ne sommes pas prêts pour l’instant (problème d’évolution interne des équipes de développement). Ils privilégient les scénaristes à succès plutôt que le bricolage. Il ne s’agit pas de faire vraiment de la recherche, mais des choses « innovantes ».
Proposition : déposer une marque et un logo : International emi@ge.
La question des inscrits libres : ce sont des gens qui prennent simplement une module… En pratique, ces modules seront vendus ! La question du contrôle de la qualité de ces modules vendus à des inscrits libres est soulevée. La rédaction de l’article est à reprendre avec une référence explicite au rôle du comité de pilotage.
Proposition
(
Il manque encore les conventions suivantes : Rennes, Paris V, Nice, Lyon (tout a été envoyé).
Les 250kf du niveau 1 sont répartis entre les universités.
Les 700 kf du niveau 2 doivent être maintenant répartis (ce qui correspond à environ 26% du total nécessaire). Le solde de ce qui est nécessaire est assuré par les universités et le CNED. Les universités assurent 1 000kf et le CNED autant (en fait 500kf en « contribution directe » et 500 kf autrement ?).
Voir le document qui est sur le site emiage pour l’étude des coûts.
Pour payer la conception et la réalisation d’une heure est de 5,8 heures complémentaires. (on peut compter sur seulement 26 % financé par la emiage, c'est-à-dire 1,6 heures…). Ces heures seront payées en heures complémentaires plutôt qu’en service. Ça fait environ 1100 francs par heure produite pour celui qui la conçoit et 540 francs pour celui qui la produit.
Le coût réel pour l’université correspond en consolidé à 8 heures complémentaires.
La répartition entre les universités devrait être faite à la prochaine réunion du comité de pilotage.
Abside (en relation avec les INSA) se propose de faire une démonstration. Daniel Marquié proposera quelque chose sur le sujet. A suivre.
La réalisation d’un portail « professionnels ». Oracle se propose éventuellement de mettre à disposition des modules de formation interne en complément des modules officiels.
Il y a une session e-learn de mise à disposition gratuite. Daniel diffuse l’information. La formation a lieu la semaine prochaine ?
IBM serait intéressé pour participer…(contacts à Toulouse et Orléans).
Partenaires possibles : dans le contexte des
Prochaine réunion de comité de pilotage : 5 mars, Paris (même lieu que le 24/01)
Prochaine réunion consortium : en visio : 3h :
Réunion infrastructures et fonctionnalités :
Il est décidé de leur demander une lettre d’intention de l’université. Par ailleurs, ils pourraient s’impliquer dans la création du module SGBD.
Une possibilité serait ouverte au Liban. Une autre possibilité est l’ouverture de MIAGE au Maroc, ce qui implique la participation emiage qui faciliterait ce déploiement. Si des gens sont en contact avec le Maroc, alors il convient de prendre contact avec Daniel MARQUIE. C’est Daniel qui reprendra l’initiative pour en parler au sein de la Miage.
(
(Gérard Michel Cochard) Antonine (LIBAN) pourrait être donc un partenaire et seraient susceptibles de mettre les contenus en anglais. Ils pourraient assurer l’interface pour les pays arabes. Cette initiative permet d’approfondir la notion de « centre relais ».
Il existe un centre relais à Athènes (existe en collaboration avec Amiens).
Journées miage de Toulouse, les 2 et 3 mai
Aspects nouveaux / industriels et international
Quelques chiffres repris dans la documentation CANEGE
Budget 30MF sur 3 ans.
Dépenses : 450kf par module (séquence pour nous) et le reste pour la logistique, le suivi pédagogique et les frais de gestion.
Financement : 2 MF par le ministère, 9 MF par université sur 3 ans, 9MF en coproduction pour le CNED et 4,5 MF d’apport en industrie.
Coûts d’inscription (indépendants de l’inscription à l’université)
- 14kf en DEUG
- 25kf en Maitrise (3000 francs = 450 euros par module)